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samedi 6 décembre 2008

ThinkGraph, logiciel de schéma conceptuel : le playtest !

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Après mes premiers essais de ThinkGraph, logiciel ( pour l'instant ) gratuit et téléchargeable de cartographie conceptuelle, je peux dire que je suis enchanté de connaître ce programme ; il est très simple et très efficace.











image tirée de mon premier essai, intitulé :
"L'entropie dans ma tête" ...



Première observation : le fonctionnement est très facile à appréhender, mais, bien qu'excessivement simple, il n'est pas intuitif : certaines fonctions-clavier ne peuvent être connues qu'en lisant le document Word d'initiation, téléchargeable sur le site.
Cependant, il suffit d'une lecture ( même rapide ) pour être à même de maîtriser les pages, et le document est concis, synthétique, largement illustré, et donc à la portée de n'importe qui ( voire même, de tous ! )


image issue du même document :
l'interface est très simple d'utilisation !


Mes premières réalisations ont été très rapides.
Pour bien exploiter le logiciel, il suffit de connaître quelques fonctions-claviers basiques :



après avoir sélectionné une "idée" permet de créer ce que les concepteurs du logiciels appellent une "idée-fille".





après avoir sélectionné une "idée" permet de modifier son intitulé.




permet de "zoomer" sur l'ensemble du graphe édité.




Le reste, on le découvre progressivement au fil de ses expériences !

Il reste malheureusement quelques bugs ( la version est gratuite car il s'agit, d'après ce que j'ai compris, d'une version "beta" d'essai. ) :
ainsi, la fonction "générer un document Word" ne semble pas fonctionner correctement, de même que l'exportation sous certains formats de fichiers ( *.pdf, par exple ) car n'est exporté que ce qui est visible à l'écran, et non l'ensemble du document...
Je vais retenter avec un autre graphe pour vérifier qu'il s'agit bien d'un bug lié au logiciel, et non pas d'une erreur de manipulation qui m'aurait échappée :
la suite, donc, bientôt...

le blog de Nicolas

Nicolas ayant désormais son propre blog à gérer, je m'occuperais dorénavant seul de celui-ci, mais n'hésitez pas à aller lire ses textes de slam, ils sont assez fameux !

La lettrine : Google va t-il tuer le livre ?

Vu sur le blog de La Lettrine, un commentaire sur l'interview de Robert Darnton, directeur des bibliothèques de l'université de Harvard, à propos de la numérisation des livres par Google. Apparemment optimiste, il soutient que cette approche n'est qu'un moyen d'augmenter l'accessibilité du public aux oeuvres.

Après réflexion, je pense être d'accord avec ses arguments, et que ce nouveau mode de publication peut être très bénéfique, du moins tant que deux conditions resteront respectées :

  • les droits d'auteur doivent être respectés : cela suppose d'une part que la numérisation d'une oeuvre n'empêche pas la rémunération de son auteur, et d'autre part que ses intentions et sa propriété intellectuelle, littéraire et artistique soit conservées.
  • les droits de l'éditeur doivent eux aussi être honorés.
Ces conditions posent le problème de la gratuité d'accès à certains textes sur le Net, mais aussi celui du piratage - avec toutes les mesures légales ou autres que cela comporte -, mais comme il serait relativement facile de faire payer un abonnement pour l'accès à une partie d'un site ( c'est-à-dire en conservant la gratuité d'accès à certains textes, - ceux qui sont tombés dans le domaine public, par exple - ) le premier obstcle ne pose pas de problème.


Enfin, il y a ceux qui sont contre la "dématérialisation" des livres : les signaux électroniques, immatériels, font peur à beaucoup. D'abord, il y a le fait de tenir un livre dans ses mains, d'en tourner les pages avec ses doigts, qui fait partie du plaisir de la lecture pour de nombreuses personnes ( dont moi ! ).
De plus, certains ont peur que si nous ne conservons aucune trace matérielle des oeuvres intellectuelles et littéraires, il suffirait d'un bug ou d'un virus pour que toutes les sauvegardes de textes écrits disparaissent des disques durs sur lesquels ils sont enregistrés.

C'est à cette deuxième crainte que j'aimerais répondre :
sans entrer dans la considération selon laquelle un livre, ça brûle, et que de ce fait les "traces matérielles" sont donc aussi fragiles que les traces immatérielles, le fait que l'on numérise les oeuvres ne signifie pas que l'on se débarrassera ensuite de toutes les oeuvres "tangibles" d'origine.
De plus, vous pourriez me répondre que même si une bibliothèque brûle, il restera de part le monde de nombreuses autres bibliothèques dans lesquelles l'oeuvre est également conservée.
A quoi je répondrais que les disques durs ne sont pas uniques non plus ( d'ailleurs, vous aurez remarqué que je parle toujours, dans ce billet, de "disques durs" au pluriel ! )

Enfin, il y a ceux qui dénoncent la virtualité de la lecture sur écran.
Là, je n'ai pas de réponse satisfaisante, mais après tout chacun peut choisir pour soi s'il souhaite lire un livre ou un écran...

Non, le seul problème véritable que je vois dans ce processus, c'est que le système est compliqué quand on veut bouquiner le matin, dans son lit en faisant une bonne grasse mat' : car un ordinateur, - même portable -, c'est assez encombrant, et en plus ça fatigue les yeux !
Et d'autre part, il est moins agréable de lire des feuilles imprimées chez soi qu'un vrai livre relié et mise en page professionnellement...

Mais ça, ça se trouve encore de nos jours en librairie ;-)


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Premiers résultats et observations de l' "expérience de lecture"

Après avoir proposé aux internautes ( ...enfin, disons plutôt, aux lecteurs de mon deuxième blog ! ) une expérience sous forme de questionnaire, j'ai reçu quelques réponses.
Voici donc "le pourquoi" de cette "expérience" :

Voilà : pour ceux qui ont participé (sérieusement ! ) à l'expérience, ils ont bien évidemment le droit de savoir à quoi ils ont participé, donc de connaître l'objectif de l'expérience :

En réalité, c'est très, trèèès bête :
Je rencontre beaucoup de gens qui me disent qu'ils n'aiment pas lire, qui trouvent les bouquins barbants, qui détestent les livres, ou toute forme de support matériel écrit.

Et pourtant... Mettez les devant un ordinateur connecté à interNet, ils sont prêts à passer une journée entière à surfer sur le web !
La grande majorité des sites étant des sites écrits, ces personnes doivent donc... LIRE à l'écran !

La question que je me posais est donc :
êtes-vous dans la catégorie des personnes qui n'aiment pas les livres, mais qui aiment bien "lire sur écran",
dans la catégorie des personnes qui n'aiment pas lire du tout ( ni "sur écran", ni dans des livres ),
ou dans la catégorie de personnes qui aiment lire à la fois "sur écran" et dans les livres ?

Telle est la question....

Si vous connaissez des adeptes d'Internet que cela ne dérangerait pas de perdre quelques minutes pour participer à ce questionnaire, vous pouvez leur indiquer la page sus-mentionnée.

L'argent en tant que dette : le système monétaire et bancaire...

Après pas mal de discussions par e-mails interposés, beaucoup se sont montrés intéressés par la fameuse vidéo dont je leur avais envoyé l'url. Je me décide donc à vous la présenter ici ; pour pouvoir en discuter.
Voici d'abord les deux permières parties :




lundi 1 décembre 2008

Hop ! quelques liens de sites intéressants sur la cartographie conceptuelle

cartes conceptuelles : une définition.

commentaires critiques et détaillés de plusieurs logiciels téléchargeables ( dont, des logiciels de création de cartes conceptuelles, mais pas que ! )....

iufm de Caen : une sélection de logiciels téléchargeables....

Je vous souhaite de bonnes congitations !