Contributeurs

Ludologie (ressources)

Pour commencer, quelques citations :


"Le Paradis, c'est un roman devant un bon feu ! " - Théophile GAUTHIER.

"Toute notre dignité consiste donc en la pensée. C'est de là qu'il faut nous relever, et non de l'espace ou de la durée, que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser, voilà le principe de la morale." - Blaise PASCAL, Pensées.

"Si le monde n'a absolument aucun sens, qu'est-ce qui nous empêche d'en inventer un?" - Lewis Caroll, Alice au pays des Merveilles.

"Vouloir nous Brûle, et Pouvoir nous Détruit" - H. de Balzac, La Peau de Chagrin.

-


"L'avantage d'être intelligent c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile alors que l'inverse est difficilement réalisable" - Woody Allen

" Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, le ridicule ne tue pas, donc le ridicule... " ( source : fiche de D. Roullier ! )

"Quand il allume son réverbère, c'est comme s'il allumait une nouvelle étoile, ou une fleur. Quand il éteint son réverbère, ça endort la fleur ou l'étoile. C'est très joli. C'est véritablement utile, puisque c'est joli !" ( Saint-Exupéry )

"Bois du lait, parce que le leitmotiv !"


- "L'esprit féminin est assurément tortueux, monseigneur." dit Tambourinoeud.
Vétérini regarda son secrétaire d'un air surpris."Ma foi, c'est évident. Il doit composer avec le masculin."
Allez les Mages ! . Terry Pratchett. 



Blaise Pascal (1623-1662) Pensées,
fragment 347 de l'édition de Brunschwicg  /ou  fragement
S230, de l'édition Sellier :
" Je puis bien concevoir un homme sans mains, pieds, tête (car ce n’est que l’expérience qui nous apprend que la tête est plus nécessaire que les pieds). Mais je ne puis concevoir l’homme sans pensée : ce serait une pierre ou une brute. Penser fait la grandeur de l’homme. L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; mais c’est un roseau pensant. Il ne faut pas que l’univers tout entier s’arme pour l’écraser : une vapeur, une goutte d’eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue, puisqu’il sait qu’il meurt, et l’avantage que l’univers a sur lui, l’univers n’en sait rien. Toute notre dignité consiste donc en la pensée. C’est de là qu’il nous faut nous relever et non de l’espace et de la durée, que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser : voilà le principe de la morale. Roseau pensant. Ce n’est point de l’espace que je dois chercher ma dignité, mais c’est du règlement de ma pensée. Je n’aurai pas d’avantage en possédant des terres : par l’espace, l’univers me comprend et m’engloutit comme un point ; par la pensée, je le comprends."




" Je veux imaginer sous quels traits nouveaux le despotisme pourrait se produire dans le monde : je vois une foule innombrable d’hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs, dont ils emplissent leur âme. Chacun d’eux, retiré à l’écart, est comme étranger à la destinée de tous les autres : ses enfants et ses amis particuliers forment pour lui toute l’espèce humaine ; quant au demeurant de ses concitoyens, il est à côté d’eux, mais il ne les voit pas ; il les touche et ne les sent point ; il n’existe qu’en lui-même et pour lui seul, et, s’il lui reste encore une famille, on peut dire du moins qu’il n’a plus de patrie.
Au-dessus de ceux-là s’élève un pouvoir immense et tutélaire, qui se charge seul d’assurer leur jouissance et de veiller sut leur sort. il est absolu, détaillé, régulier, pré­voyant et doux. Il ressemblerait à la puissance paternelle si, comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes à l’âge viril ; mais il ne cherche, au contraire, qu’à les fixer irrévocablement dans l’enfance ; il aime que les citoyens se réjouissent, pourvu qu’ils ne songent qu’à se réjouir. Il travaille volontiers à leur bonheur ; mais il veut en être l’unique agent et le seul arbitre ; il pourvoit à leur sécurité, prévoit et assure leurs besoins, facilite leurs plaisirs, conduit leurs. principales affaires, dirige leur industrie, règle leurs successions, divise leurs héritages, que ne peut-il leur ôter entièrement le trouble de penser et la peine de vivre ?

C’est ainsi que tous les jours il rend moins utile et plus rare l’emploi du libre arbitre ; qu’il renferme l’action de la volonté dans un plus petit espace, et dérobe peu à peu à chaque citoyen jusqu’à l’usage de lui-même. L’égalité a préparé les hommes à tou­tes ces choses : elle les a disposés à les souffrir et souvent même à les regarder comme un bienfait.



Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l’avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière ; il en couvre la surface d’un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule ; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige ; il force rarement d’agir, mais il s’oppose sans cesse à ce qu’on agisse ; il ne détruit point, il empêche de naître ; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation a n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement est le berger.
J’ai toujours cru que cette sorte de servitude, réglée, douce et paisible, dont je viens de faire le tableau, pourrait se combiner mieux qu’on ne l’imagine avec quelques-unes des formes extérieures de la liberté, et qu’il ne lui serait pas impossible de s’établir à l’ombre même de la souveraineté du peuple.

Nos contemporains sont incessamment travaillés par deux passions ennemies : ils sentent le besoin d’être conduits et l’envie de rester libres. Ne pouvant détruire ni l’un ni l’autre de ces instincts contraires, ils s’efforcent de les satisfaire à la fois tous les deux. Ils imaginent un pouvoir unique, tutélaire, tout-puissant, mais élu par les citoyens. Ils combinent la centralisation et la souveraineté du peuple. Cela leur donne quelque relâche. Ils se consolent d’être en tutelle, en songeant qu’ils ont eux-mêmes choisi leurs tuteurs. Chaque individu souffre qu’on l’attache, parce qu’il voit que ce n’est pas un homme ni une classe, mais le peuple lui-même, qui tient le bout de la chaîne.

Dans ce système, les citoyens sortent un moment de la dépendance pour indiquer leur maître, et y rentrent.

Il y a, de nos jours, beaucoup de gens qui s’accommodent très aisément de cette espèce de compromis entre le despotisme administratif et la souveraineté du peuple, et qui pensent avoir assez garanti la liberté des individus, quand c’est au pouvoir national qu’ils la livrent. Cela ne me suffit point. La nature du maître m’importe bien moins que l’obéissance.


Je ne nierai pas cependant qu’une constitution semblable ne soit infiniment préfé­ra­ble à celle qui, après avoir concentré tous les pouvoirs, les déposerait dans les mains d’un homme ou d’un corps irresponsable. De toutes les différentes formes que le despotisme démocratique pourrait prendre, celle-ci serait assurément la pire.

Lorsque le souverain est électif ou surveillé de près par une législature réellement élective et indépendante, l’oppression qu’il fait subir aux individus est quelquefois plus grande ; mais elle est toujours moins dégradante parce que chaque citoyen, alors qu’on le gêne et qu’on le réduit à l’impuissance, peut encore se figurer qu’en obéissant il ne se soumet qu’à lui-même, et que c’est à l’une de ses volontés qu’il sacrifie toutes les autres.

Je comprends également que, quand le souverain représente la nation et dépend d’elle, les forces et les droits qu’on enlève à chaque citoyen ne servent pas seulement au chef de l’État, mais profitent à l’État lui même, et que les particuliers retirent quelque fruit du sacrifice qu’ils ont fait au pu­blic de leur indépendance.
Créer une représentation nationale dans un pays très centralisé, c’est donc di­mi­nuer le mal que l’extrême centralisation peut produire, mais ce n’est pas le détruire.
Je vois bien que, de cette manière, on conserve l’intervention indi­vi­duelle dans les plus importantes affaires ; mais on ne la supprime pas moins dans les petites et les particulières. L’on oublie que c’est surtout dans le détail qu’il est dange­reux d’asservir les hommes.
Je serais, pour ma part, porté a croire la liberté moins nécessaire dans les grandes choses que dans les moindres, si je pensais qu’on pût jamais être assuré de l’une sans posséder l’autre.

La sujétion dans les petites affaires se manifeste tous les jours et se fait sentir indistinctement à tous les citoyens. Elle ne les désespère point ; mais elle les contrarie sans cesse et elle les porte à renoncer à l’usage de leur volonté. Elle éteint ainsi peu à peu leur esprit et énerve leur âme, tandis que l’obéissance, qui n’est due que dans un petit nombre de circonstances très graves, mais très rares, ne montre la servitude que de loin en loin et ne la fait peser que sur certains hommes.
En vain chargerez-vous ces mêmes citoyens, que vous avez rendus si dépendants du pouvoir central, de choisir de temps à autre les représentants de ce pouvoir ; cet usage si important, mais si court et si rare, de leur libre arbitre, n’empêchera pas qu’ils ne perdent peu à peu la faculté de penser de sentir et d’agir par eux-mêmes, et qu’ils ne tombent ainsi graduellement au-dessous du niveau de l’humanité.

J’ajoute qu’ils deviendront bientôt incapables d’exercer le grand et unique privi­lège qui leur reste. Les peuples démocratiques qui ont introduit la liberté dans la sphère politique, en même temps qu’ils accroissaient le despotisme dans la sphère administrative, ont été conduits à des singularités bien étranges. Faut-il mener les petites affaires où le simple bon sens peut suffire, ils estiment que les citoyens en sont incapables ; s’agit-il du gouvernement de tout l’État, ils confient à ces citoyens d’im­menses prérogatives ; ils en font alternativement les jouets du souverain et ses maîtres, plus que des rois et moins que des hommes. Après avoir épuisé tous les différents systèmes d’élection, sans en trouver un qui leur convienne, ils s’étonnent et cherchent encore ; comme si le mal qu’ils remarquent ne tenait pas à la constitution du pays bien plus qu’à celle du corps électoral.

Il est, en effet, difficile de concevoir comment des hommes qui ont entièrement renoncé à l’habitude de se diriger eux-mêmes pourraient réussir à bien choisir ceux qui doivent les conduire ; et l’on ne fera point croire qu’un gouvernement libéral, éner­gique et sage, puisse jamais sortir des suffrages d’un peuple de serviteurs.
Une constitution qui serait républicaine par la tête, et ultra-monarchique dans toutes les autres parties, m’a toujours semblé un monstre éphémère. Les vices des gouvernants et l’imbécillité des gouvernés ne tarderaient pas a cri amener la ruine ; et le peuple, fatigué de ses représentants et de lui-même, créerait des institutions plus libres, ou retournerait bientôt s’étendre aux pieds d’un seul maître."
Alexis de Tocqueville, De la Démocratie en Amérique, T.II, 1840.






Après cette mise en bouche culturelle, qui constitue certaines de mes inspirations ; voici donc les références promises :

Bibliographie ludologique : 

  •  Huizinga, Johan. Homo ludens : essai sur la fonction sociale du jeu. Paris : Gallimard, mai 1988. ISBN :  978-2070712793.
  • Winnicott, D. W. (Auteur), Monod, Claude (Trad.), Pontalis, J.-B. (Trad.). Jeu et réalité. Paris : Gallimard, janvier 2002. ISBN : 978-2070419845.
  • Caillois, Roger. Les Jeux et les hommes : Le masque et le vertige. Paris : Folio Essais, janvier 1992. ISBN : 978-2070326723.
  • Lhôte, Jean-Marie. Le symbolisme des jeux. Paris : Flammarion, février 1994. ISBN : 978-2917191286.
 

  • Chauvier, Stéphane. Qu'est-ce qu'un jeu ?. Paris : Librairie Philosophique Vrin, novembre 2007. ISBN : 978-2711619283.
  • Périno, Odile. Des espaces pour jouer : Comment les concevoir ? Comment les aménager ?. Paris : Erès, juin 2006. ISBN : 978-2749205861.




Carnet de jeux d'animation :




projets personnels de jeux de Rôles développés :

  1. projet Dodékasys-thème :
    • Tout a commencé par la seconde édition du concours "Démiurges" (http://forgesonges.org/demiurges/.) organisé par l'association ForgeSonges. Le thème d'alors était "Forge" et "Songes"... J'avais bricolé pour l'occasion un jeu autour d'une vieille idée que j'avais lue lorsque j'étais gamin et que je jouais sur le splages de sable en été. L'une des contraintes du concours étant d'utiliser le système D6 (cf. infra !), j'ai par la suite rédigé un module de conversion à mon système personnel : le dodékasys-thème, qui utilise des dés à 12 faces. Le résultat est là :
  2. Alias-identity : 
  3. JDR-en-une-page :
    • Premier Jdr-en1-page que j'ai écrit pour le concours de Casus-NO (http://www.pandapirate.net/casus/viewforum.php?f=26), Les Agents Creux, prennent place dans un univers western à la Chick Bill (oui, vieille référence, s'il en est !). Son système de jeu n'est peut-être pas très jouable. A vrai dire, je n'ai pas encore eu l'occasion de le tester, mon ancien groupe de joueurs étant dispersé dans toute la France, et moi-même étant assez éloigné d'Angers et de Toulouse (je me suis expatrié à Lille !) (où j'avais été accueilli par une association de rôlistes) et trop occupé pour monter (ou même rejoindre) un nouveau groupe de jeu...

      Bref, un jeu non testé pour l'instant, mais si l'envie vous en prend, donnez-en moi des nouvelles !

      Le thème était "la mort"

      Vous pouvez donc le découvrir ici ou encore là.
    • Quelques commentaires à la fin du concours :

      edophoenix a écrit:

      edit.: au fait, je m'étais même pas rendu compte, mais j'ai fait un western au moment où Lucky Luke est au cinéma... J'avais même pas fait le lien Razz

      [j'ajoute dans un autre message :]
      C'est juste que je trouve marrant de m'en être rendu compte Very Happy J'ai même fait un ajout sur la page corrigée en ce sens.
      _

      shin01 a écrit:
      - Agents creux, alors format très original, c'est même celui qui en impose le plus. Problème je n'arrive absolument rien à lire ou presque^^
      En ce qui concerne le jeu en lui-même, les règles sont vraiment mais alors vraiment simple mais ne donnant alors aucune possibilité d'évolution, pour ce qui est du background, bah désolé mais je le trouve inexistant ou presque.
      Cependant je le répète, le format dans lequel il a été fourni m'empêche de le lire convenablement et donc d'en profiter complètement je le reconnais.

      Cerus33 a écrit:
      Agents Creux : Bon déjà c'est clair y'a de l'effort sur la présentation. Certes j'ai du zoomer pas mal la page pour pouvoir bien lire, mais bon.
      Sinon j'ai bien aimé l'univers qui est planté et d'arrivé dans un univers western décalé comme cela (si le cote western n'est pas a prendre au sens symbolique bien sure :p) . Genre de background qui présage des partie plutôt fun a jouer je pense.
      Pour le système j'ai trouvé ca pas mal non plus en fait. Ca change des jet de dés.

      Apa a écrit:
      Agent Creux : Drôle à lire, drôle à imaginer mais j'ignore si c'est jouable. Par contre il est dommage que ce ne soit jouable qu'en one-shot.

      Akromag a écrit:
      ** Agents creux : Le thème du western est sympa, les règles le sont également, mais la durée de vie du jeu excéde-t'elle la demi-heure ? Attention également à la lisibilité du document.



      ...et à propos de la police :
      edophoenix a écrit:
      Hello ! Bon, (pour commencer) merci pour toutes vos critiques sur Agents Creux ! Je me suis également rendu compte qu'il se lit mal à l'écran, mais imprimé sur feuille, c'est lisible plus facilement.
      Il est à noter que je tiens à la police d'écriture : elle a été une de mes sources d'inspi !
      (à l'origine, le monde ne devait pas être "westernien", et c'est la police d'écriture qui m'a donné cette idée ! ) Razz (...)
       
    •  Ils ne verront pas la fin : Un petit jeu à jouer en one-shot, sans prétentions. Le thème était "la fin des temps" (en référence au film 2012, sans doute ?)
      Quoi qu'il en soit, l'idée était de déplacer l'idée : En général, soit on décrit la fin du monde sur le coup, soit un monde post-apocalyptique (ou post-apo, pour les intimes !)
      Ici, l'idée de montrer "la fin des temps humains vue par une autre race vivante, une autre civilisation"...
      En fait, on peut dire que la fin de notre monde sera comparable à celle des dinosaures : spectaculaire à l'échelle locale. Dans l'Univers, il ne s'agit que d'un aléas. Mais depuis, une autre race (nous les humains) avons été fascinés par cet événement insignifiant à l'échelle de l'Univers : la disparition d'une espèce.
      Un événement qui risque - malheureusement pour nous - de se réitérer prochainement, malgré le fait même que nous faisons chaque année davantage "attention à notre planète"...
      Sauf que nous avons oublié une chose : la planète n'a pas besoin de nous pour faire attention à elle...

      cliquez donc ici, pour voir ce "chef d'oeuvre" : Ils ne verront pas la fin ou encore ici.
    • akromag a écrit:

      concours JdR-en1-page_fin des temps
      ** Ils ne connaîtront pas la fin : Encore une fois une idée sympa encore malmené par la mise en page. Caractères trop petits, présentation austère... C'est vraiment dommage car le jeu propose diiférentes options sympathiques. peut-être aurait-il fallu se concentré sur une seule des options proposé et dévelloper : qui veut déterrer les secret du passé ? Pour quel(s) raison(s) faut-il les en empêcher ? Le système de jeu à l'air fonctionnel.
       
    • Enfin, Des ruminants dans la Caverne, celui qui est, personnellement, mon favori : Autre jeu de rôle sur le thème "Fin des temps", et dont je suis particulièrement fier !
      L'idée est tirée du jeu de rôle sur PC Fallout (qui date de 1997, ce qui ne me rajeunit pas, tout ça !). L'idée me trottait en tête depuis pas mal de temps ...

      Je vous laisse le lire ici ou bien là !
       
    •  Hop : un commentaire de la page du concours :
      akromag a écrit:

      ** Des ruminants dans la caverne: Un décors et des personnages inhabituels, des intrigues extraordinaires, de l'humour, rien à redire dessus. Le système à l'air fonctionnel. Par contre, c'est moche et les "secret du MJ sont écrit si petit que j'ai du zoomer 150% pour les lire. Dommage, il y avait la place pour les mettre en caractères 10. Mais chapeau pour l'univers et les idées de scénars ! On s'imagine déjà parcourant les innombrables strates de cet abri anti-atomique.

      Citation:
      J'ai Fait un rêve...



      J'ai fait un rêve : des milliers de vaches étaient alignées dans une vaste caverne, aérée par des ventilateurs titanesques : jamais l'une d'elles n'avait, ne serait-ce qu'entrevu, la lumière du Soleil. D'ailleurs, aucune ne connaissait l'idée même de ciel étoilé ou de nuages. Pour elles, le ciel serait à jamais, éternellement, brun sombre, avec quelques tâches rouges çà et là, aux endroits où les minéraux divers rouillaient inéluctablement, victimes de la lente marche de l'humidité.
      _
l'Encyclopédie Imaginaire pour les meneurs Rôlistes :







Scénarios pour d'autres jeux de Rôles :

    • Pour le jeu d'Aventures de Lanfeust et du Monde de Troy : un scénario pour le JdR Lanfeust (utilisant le D20 system, c-à-dire les règles de D&D 3.5 !).

      Ce scénario a été joué durant le rassemblement des 24 heures du Jeu de rôle de Poitiers de juin 2008.
      ( en passant, Je remercie tous les membres de l’association « La Guilde » pour l'accueil qui lui a été
      fait. )
      Cette campagne emmènera les aventuriers d’un bout à l’autre du monde de Troy, à la recherche
      d’ingrédients pour enchantement assez particulier…! L'idée de ce scénario, vaguement inspiré de l'un de
      ceux du livre de règles, était d'envoyer les joueurs, non pas dans une aventure en soi, mais dans
      une sorte de "pré-aventure" : l'enjeu de cette quête est en effet de trouver les ingrédients d'un
      sort, c'est-à-dire de rassembler le matériel nécessaire à la préparation d'une autre aventure. Ce
      scénario peut donc servir de base à une campagne : une fois le monstre du scénario vaincu, il est
      possible d'imaginer une autre aventure, lui faisant suite, et dont l'enjeu serait de répondre à ces
      questions : (...)

      (...)
      Résumé : La cité d'Eckmül est attaquée par une bête gigantesque. Pour la combattre, les
      Vénérables ont découvert un enchantement qui permettrait d'affaiblir le monstre. Mais ils
      ne disposent pas de la « recette » complète, que les Personnages –Joueurs devront aller
      chercher. Quand ils l’auront trouvé, ils devront également se procurer les ingrédients de
      l’enchantement, décrits dans le manuscrit où se trouve cette recette..


      lien de téléchargement : https://docs.google.com/leaf?id=0B9bwiX0PyI15NDcwNDZkN2ItZDYyZS00ZjkxLWE1MTgtZTc5MTI2MzYwYWYw&hl=fr



    • Scenarios Warhammer le JdR et Call of Cthulhu : ils seront bientôt disponibles ici.

_

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire